Ils retiennent une partie de la chaleur solaire, selon le mécanisme dit d’effet de serre. Ces gaz, dont le principal est le dioxyde de carbone ou gaz carbonique (CO²), sont présents naturellement en quantité minoritaire dans l’atmosphère (moins de 1 %).
Les gaz à effet de serre sont nombreux et peuvent être classés en deux catégories :
Les émissions de CO2 dues à la consommation de combustibles fossiles représentent la part la plus importante (> 2/3) des émissions de gaz à effet de serre imputables aux activités humaines. Le protocole de Kyoto a dessiné la marche à suivre pour faire baisser ces émissions :
En décembre 2015, la COP21 a fixé comme objectif la stabilisation du réchauffement climatique dû aux activités humaines sous les 2°C par rapport à la température de l’ère préindustrielle, d’ici 2100. Cela nécessite de réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre de 40% à 70% d’ici 2050 par rapport au niveau de 2010, et d’atteindre une économie presque neutre en carbone pendant la deuxième moitié du XXIe siècle.
« Chaque année, la Commission européenne publie un rapport qui évalue les progrès de l’Union européenne dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre. L’édition diffusée le 30 novembre 2020 montre que ces émissions sont tombées à leur niveau le plus bas depuis trois décennies, enregistrant une chute des émissions de GES de 23 %. » Source : la vie publique
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